top of page

Surnom: Delta.

​

Âge: 25 ans.

​

Date de Naissance: 13 Janvier 1995.

​

Espèce: Dragon de l'air.

​

Profession: Chef Mécano.

​

Orientation: Bisexuelle et Célibataire.

​

Quartier: Centre de Kyoto.

Organic Cat Food Blog Banner (9).png

Biographie:

​

« Delilah De Castelbury, alias Delta.
Née le 13 janvier 1995.
Type : caucasien. Cheveux : brun, sombre . Particularité : Tatouages d’écailles noir et vert aux épaules.
Proches : Trois sœurs, alias Blue, Charlie et Echo.
Métier : Mécanique.
Crimes : Suspecte d’être membre et de travailler pour le X Gang. »

Voici un résumé d’un des dossiers que l’on pouvait trouver dans la station de police ainsi que dans leurs serveurs. Ce n’était pas un dossier bien important, il n’y a pas besoin d’en faire un tout un tas non plus, mais tout simplement le fait qu’il y en avait un pouvait être quand même important, vous ne trouvez pas ?

Il y a 25 ans de cela, bien avant et bien après aussi, un homme d’affaires important était l’incarnation d’un des péchés capitaux. Bien sûr, il était aussi touché par les autres. Après tout, n’importe quel homme malhonnête qui touchait à de la politique, de l’économique ainsi que tout ce qui pouvait lui rapportait plus d’argent et de pouvoirs était un homme de plusieurs vices. Mais celui qui nous importe le plus là ? La luxure.
Cet homme avait un penchant pour les femmes.

Pourquoi avoir parler de 25 ans ? Parce qu’il y a 25 ans, ce même homme avait eu quelques surprises. 4 pour exactes. Cette année là, une de ses partenaires d’un soir (ou peut-être plus ? Qui suis-je pour juger ?) ont donné naissance à sa progéniture. Ce n’était pas un problème pour lui. Non, il ne voulait pas devenir un père de famille. En revanche, il avait besoin de monnaie d’échange dans le monde des connections… Et quoi de mieux que des enfants ?

Dommage pour lui, cette année là il eut droit à 4 filles : des quadruplettes. Dès que la mère fut payé pour porter l’enfant puis disparaître, ces filles furent donné à une nounou pour être élevé.

Aujourd’hui, ces filles portent toutes des noms différents. La première née cette année fut Blue, puis vint Delta, ensuite Echo et pour finir Charlie. Des quadruplets identiques qui furent imposer des couleurs pour pouvoir les différencier dans leur jeunesse… . Il suffisait de les voir pour s’appercevoir qu’il n’y avait pas de différences entre elles physiquement, hormis les cicatrices qu’elles eurent en grandissant. Et bien sûr leur personnalité. Soeurs de mère inconnue, partageant style de vie et père ignorant. Elles durent apprendre par elle même ce qu’elles étaient.

Eh oui, Delta ! C’est elle qui nous intéresse actuellement ! Pas que les autres ne sont pas intéressante, loin de là, mais elles ont chacune leur petite histoire quelque part, et celle-ci, eh bien… c’est celle de Delta. Enfin, Delilah plutôt, mais le prénom qu’elle reconnaît est plutôt ce surnom d’enfance qui est depuis resté pendant toute ces années.

Delta a grandit avec ses sœurs, les considérant comme ses quart-d’âmes. Pour elle, elles étaient sa seule famille. Leur père n’était pas dans l’image pour elle. Il était toujours en train de travailler et jamais ne souhaitait-il les voir. Hormis pour les grosses occasions où il pouvait les balader et les mettre en vitrine : ses jolies filles à lui, avec leurs belles manières et attitudes parfaites.

Alors il faut savoir que tout ça, se n’était qu’un extérieur.

Les enseignantes privées avaient beau lui crier dessus, mais Delta n’en avait rien à faire de leurs manières. Oh tu devrais être reconnaissante de vivre dans un tel luxe, votre père s’occupe de vous et vous gâte et bla et bla et bla !
Comment dire qu’elle ne voulait pas vivre dans de tel règles de vie strictes, manger avec tel ou tel fourchettes et non avec les mains, devoir apprendre à danser et interdit de monter dans les arbres. Bon sang que ça l’ennuyait tout ça !
Donner lui quelque chose à fabriquer et elle était contente !

Très rapidement, les jeunes filles se sont regroupées et ont réuni leurs forces. Oui, elles étaient sœurs, mais vous le savez bien que pas toutes les fratries peuvent se voir. Elles si. Ensemble elles faisaient les 400 coups.

Quand elles ont commencé l’école, avec d’autres enfants, et bien… Malheureusement pour leur très cher père qui voulaient qu’elles s’associent au meilleur des meilleurs, qu’elles se lient à d’autres enfants de la haute société. Mais non. Elles avaient réussi à se faire ami-ami avec les délinquants de la classe, ceux qui pouvaient faire ce qu’ils voulaient sans que quiconque leurs disent quoi faire. Contrairement à elles…

Delta n’était pas stupide, aucune d’elles ne l’étaient. En revanche…. Les cours où il fallait simplement rester assise sur une chaise à lire et n’apprendre que la théorie, ça l’ennuyait. Elle préférait de loin tout ce qui était dans la pratique et le manuel ! Les cours de sport ? Laissez là se joindre aux sports bien tactile et non au cours de ballet et je ne sais qu’elle autre sport délicat (en apparence, elle respectait ceux qui arrivait à vous faire un grand écart et des sauts de chats, c’était juste pas pour elle).

Il suffisait de regarder leur dynamique de groupe pour se rendre compte que oui, on pouvait les décrire comme travaillant en groupe. Blue, l’aînée, était la leadeuse, celle à la voix douce capable de sweet-talk n’importe qui. Delta, elle, eh bien, elle était la seconde en chef, celle qui n’hésitait pas à en venir au poing pour qu’on respescte ses sœurs. Et Charlie et Echo étaient celle qui géraient le mieux l’information (la programmation, le codage, le hacking) et la médecine (ou médecine à leurs âges, celle qui mettait les bandages et qui leurs tirer les oreilles pour prendre leurs médicaments).

Vous vous rappeler du père qui les ignorait ? Il les ignorait qu’à moitié. En soit, il voulait quand même savoir comment aller ses filles, de la même façon que qu’il voulait savoir comment aller ses stocks. Il n’avait pas de liens avec elle, tout autant qu’elles avec lui. Enfin… ce n’était pas de l’amour qu’elles portaient pour lui, au contraire plutôt. Monsieur De Castelbury voulait tout simplement garder un œil sur ce qui allait lui permettre de faire des liens avec d’autres sociétés qui lui permettrait de s’élever ou bien avec des familles politiques.

Dommage pour lui, Delta n’avait aucune intention d’être un de ses chiens lui obéissant au doigt et à l’oeil. Ni aucune d’elle.

Un des exemples de rejets qu’elle avait fut le changement de noms. Née Delilah, elle préférait de loin qu’on l’appelle Delta, de la même façon que Valeera et ses soeurs préféraient qu’on les appelle Blue, Echo et Charlie. Peut-être pas aux travailles de certaines maintenant qu’elles étaient toute des adultes, mais ça ça vient plus tard !

À 16ans, tout éclata.
Leurs petites troupes c’étaient fait des amis pas très favorable d’après le point de vue de certains.
Un jour, un de leurs amis (le style qui porte des vestes en cuir qu’on dit être la future génération de gangsters) avait des ennuis (encore) avec les forces de l’ordre. Pourquoi parler de lui ? Parce que ce fut les filles qui lui virent à son secours. Étant sur place au même endroit que lui, leurs témoignages collaboraient l’alibi qu’ils lui donnaient : il était avec elle. Et contrairement au jeune homme, elles étaient censées être des filles respectables, non ?

Revenons un peu en arrière de plusieurs années. Cet ami là, ils se connaissaient depuis des années maintenant, et plutôt proche. Assez proche pour mentir à la police au risque de s’attirer des ennuis à leurs sœurs.
Depuis aussi loin qu’elles ne pouvaient s’en rappeler, chacune d’entre elles avaient la capacité de transformation. Et pas n’importe quelle transformation. Les écailles sur leurs épaules pourraient indiquer reptile, mais plus particulièrement… elles étaient des dragons. Leur mère, disparue à ce jour, faisait partis de ce peuple fier. Pourquoi ne pas les avoir élevés elle même ? Personne ne sait. La seule chose que cette femme à fait pour sa progéniture, c’est vérifier que leur nounou était au courant (elle devait également être une créature surnaturelle après réflexion pour avoir réussi à élever quatre petit monstre). C’est à cause de cela que les quadruplets passèrent leurs premières années d’enseignement à domicile, n’entrant que à l’école vers l’âge de 13 ans. La nounou avait peur que si quelque chose se produisait, une des filles laisserait leur secret être découvert.

Et elle n’avait pas eu peur pour rien. Dans la première semaine de cours, elles avaient été ciblé par des enfants trop idiots, stressés, méchants, etc. Ensemble avec leurs systèmes de meutes à 4, elles pouvaient se défendre elle même.
Sauf que pour celles qui avaient besoin d’extériorisé leurs émotions quand ils s’empilent… cela se traduit souvent par la dragonne reprenant sa forme reptilienne. Et devinez quoi : Delta était à 100 % une de ces filles là. Et après cette semaine là… ce n’était une surprise pour personne qu’elle eu besoin de lâcher un peu la pression.
Malheureusement, un jour, elle était partit en forêt pour décompresser. Mais elle n’avait pas été toute seule. Un jeune garçon avait été là, lui aussi séchant les cours. Et ce garçon avait bien sûr tout vue. Mais à la place de prendre ses jambes à son cou, il resta. À partir de ce jour là, une amitié se forma, entre le garçon, Delta, et les sœurs. En plus de faire parti des quartiers plus sombres de la ville, il faisait également parti des surnaturels de la ville. Voilà comment leur amitié débuta. Voilà comment les filles découvrir ce coté de la ville. Voilà comment plusieurs années plus tard, elles n’hésitèrent pas deux secondes pour mentir pour le protéger.

Un coup de fil plus tard et le père absent fut incapable de répondre quant aux fréquentations de ses enfants. Ils s’étaient toujours mit en tête l’idée de les marier le plus vite possible afin de se faire des connections. Mais en apprenant que peut-être elles étaient sur le point de perdre leur « respectabilité », il s’était mis en tête de les marier le plus vite possible. Le plus vite elles seront mariées le plus vite elles serviront enfin à quelque chose. Le mariage les redescendraient enfin sur Terre et elles arrêteraient de faire n’importe quoi et traîner avec n’importe qui. Il ne s’était pas retenu de bien le leur cracher aux visages.

La fratrie était déjà en âge d’ailleurs.

Malheureusement pour monsieur De Castelbury, ces plans tombèrent à l’eau.

Un soir elles étaient dans la demeure qui leur avait été attribué avec les nounous. Le prochain… elles avaient disparu.

Prenant certains des bijoux qu’elles avaient reçu aléatoirement au fil du temps, elles étaient parties au beau milieu de la nuit. Grâce à leurs amis, elles eurent un toit par dessus la tête et une nouvelle famille.

Leur nouvelle famille ? Un des gangs bien renommé de la ville.

Qui a dit que la nouvelle génération devait forcément être de sang ?

Elles se sont mises directement aux travailles. Delta refusait d’être un poids lourd. Tandis que Blue se trouva des petits boulots là où elle pouvait, notre jeune Delta elle suivit la route de la mécanique. Elle avait peut-être seulement 16ans à l’époque, mais cela faisait déjà des années qu’elle touchait aux moteurs des voitures (après tout ? À quoi ça sert d’avoir un papa riche si elle ne pouvait pas lui casser ces voitures ? Ce n’était pas comme si juste une aller lui manquait…).
Au début, elle resta une simple assistante chez le garage des mécano’s du gang. Après tout, elle était qu’une petite fille (en taille ainsi qu’en age). Elle leur apportait les cafés, les bières, passer le balai après eux.
Puis petit à petit, elle commença à leur passer les outils, à donner des hypothèses quant aux problèmes ou possibles progrès possible, à être celle qui allait leur chercher les pièces. Prochaine stade fut quand c’est elle que l’on envoyé sous la voiture pour réparer ceci ou cela (les joies d’être moins corpulente qu’un tas de gros bras) ou qu’on appelait pour filer un coup de mains pour installer un nouveau moteur ou autres.
Pendant tout ce temps, ce n’était pas comme si elle se tournait les pouces, elle rapportait peut-être un peu de blés à la maison, mais elle continuait ses études sur le côté. Être mécanique, c’est bien beau, mais les connaissances nécessaires n’allaient pas lui sortir de l’air.
Maintenant ? C’était elle qui était le Head Mécanic, ou autrement dit : le Chef de la cuisine de mécanic qu’était leur garage. Elle avait hérité le rôle quand l’ancien s’était fait arrêter par les forces de l’ordre.

Étant les plus grandes du quatuor, Blue et Dela avaient pris sur elle le poids de gagner assez d’argent pour toutes les quatre, laissant la possibilité à Charlie et Echo de continuer leurs études pour un peu plus longtemps sans devoir se préoccuper de cela encore.

Elles auraient pu vivre le reste de leur vie ainsi, sans aucune autre bosse au travers de leur route… Mais depuis quand les choses sont si faciles ? Surtout avec leur géniteur sans coeur… Celui-ci tenta à plusieurs reprises de récupérer ces filles (encore dans le but de les marier, n’oublions pas que ce n’était en aucun cas de l’amour paternel qui était derrière ce geste). Mais leurs petites familles de quatre et leur nouvelle famille chez les X n’allaient pas se laisser faire. Premièrement : touchez à une sœur, vous aurez les trois autres sur votre dos. Et deuxièmement : qui serait assez stupide pour toucher aux petites protégées du gang ?

De « protégées », les filles ont grandi et on de vrai métier désormais. Mécano’, chanteuse, programmeuse, et même médecin. Plutôt pas mal comme regroupement de professions et de talents, vous ne trouvez pas ?
Vue comme ça, elles paraissaient plutôt respectables non ? Pas aussi respectable qu’un lot de femme marié, mais quand même. Officiellement, elles étaient aussi blanches que de la neige. Mais en pratique, c’était une autre histoire. Elles étaient, et le restent encore, des membres à parts entières de leurs familles criminelles.

Et personne ne touche à leurs filles. Bien qu’ils n’avaient pas besoin de les protéger quand on voit qu’elles avaient toutes un minimum de connaissances à kickass et à faire en sortes que les gens aient peur d’elles… Si on oubliait aussi que derrière leurs jolis minois se cachaient des crocs acérés et des griffes aiguisés.

Aujourd’hui, vous avez une chance sur deux de tomber sur une Delta portant des talons si grands qu’elle peut surplomber une foule, un maquillage impeccable parfaitement assorti à sa tenue. Et si vous tombez sur l’autre chance, eh bien… c’est sûrement en pantalons cargos, un t-shirt aléatoire avec probablement quelques trous dedans, de l’huile au visage et des outils à la main.

bottom of page